Grand philanthrope ou les actions sociétales de ShanCha
Enregistrée à New York, la société ShanCha, créée par le Groupe chinois Lingrui, a une idéologie particulière. En effet, sa création est issue d'un projet sociétal, et son développement est chargé de responsabilité et de devoir qui consistent à sortir de la pauvreté des villageois des zones de théiers dans les montagnes DABIE.
Au fin fond des montagnes DABIE, situé dans une zone où croisent trois régions et deux rivières, il y a un endroit pittoresque : le Comté de Xin de Henan.
Ici, on trouve une région connue pour sa longue histoire dans les huiles de camélia.。
Ici, on trouve un des comtés les plus pauvres de la Chine : en effet, l'ensemble de la zone des montagnes DABIE est classé comme étant la deuxième zone la plus pauvre, après celle de DABA des montagnes QIN (selon « Le Guide pour l'éradication de la pauvreté dans les milieux ruraux chinois (2011-2020) ».
Le village ZhouHe du Comté de Xin est le principal site de production de la société ShanCha, où les villageois ont vécu de leurs théiers sauvages depuis plus d'une vingtaine de générations.
Le Comté de Xin est déjà un endroit pauvre, mais le village de ZhouHe, situé au fin fond des montagnes, est encore plus pauvre et isolé. Parmi les 3700 foyers composés de 14300 personnes, plus de 2500 sont pauvres, soit 17,6% (**selon les autorités locales).
Ici, les montagnes sont hautes et les flancs escarpés, les falaises sont parfois raides, les chemins sont étroits, sinueux et difficiles à pratiquer. Mais c'est exactement ici que poussent naturellement les théiers à huile sauvages, surtout en haut des collines. Chaque année, vers la fin octobre, au bord des chemins plein de ronces, des fleurs de camélia s'ouvrent partout sur toutes les collines. En pleine période où la nature commence à se faner, ces fleurs offrent un paysage spectaculaire, une vraie démonstration de force robuste.
Les villageois qui vivent au fin fond des montagnes, sont très isolés et les déplacements ne sont pas faciles ; du coup, les théiers sauvages, bien qu'en faible quantité, sont devenus leur moyens de survie.
Depuis des siècles et de génération en génération, les huiles de camélia produites, selon la méthode de pressage traditionnelle, sont conservées par les villageois pour leur propre besoin. Seules les faibles quantités des huiles restantes sont vendues sur les marchés. Aussi c'est un labeur qui rapporte très peu, au point que certains villageois vivent, encore à ce jour, dans une très grande pauvreté.
Ces villageois savent depuis très longtemps que les huiles de camélia sont des huiles d'exception : pas grasses, faciles à digérer et ne dégageant pas de fumée à la cuisson.
Les villageois ne connaissent pas les règles de soin, de santé ou de bien être, mais beaucoup d'entre eux connaissent une belle longévité. On a compris par la suite que c'est parce que nombreux d'entre eux ont l'habitude de boire, à jeun, le matin, un peu d'huile de camélia ; quand quelqu'un est malade, sa famille va lui faire manger davantage de nourritures à base d'huiles de camélia, car, par expérience, elle pense que cela va accélérer la convalescence ; de mêmes pour les femmes enceintes ou qui viennent d'accoucher, elles ne peuvent pas se passer de ces huiles ; utiliser les huiles de camélia pour le bain des bébés afin de protéger leur peau fragile, c'est aussi une tradition ancienne ; les villageoises appliquent également ces huiles sur leur visage et leurs cheveux pour avoir une peau fine et de beaux chevaux ; en cas de brûlure ou des exémas sur la peau, il suffit de mettre un peu d'huile de camélia, l'effet est bien plus efficace que n'importe quelle pommade.
Les villageois savent peut-être que les forêts de théiers à huile, près desquels ils sont nés, sont de réels dons du ciel, un véritable «or vert», qui leur permettraient d'avoir une meilleure vie ; mais avec des méthodes de production trop arriérées, ils ne peuvent sortir de la pauvreté.
Avant l'industrialisation et l'urbanisation de cette région, les villageois n'avaient jamais quitté leurs terres depuis des générations.
Mais aujourd'hui, les jeunes ne restent plus dans leur village et ne veulent plus vivre dans la pauvreté. Ils sont donc partis travailler en ville, espérant que cela leur permettra d'avoir une meilleure vie pour leur famille et pour eux mêmes!
Selon le dernier recensement de mars 2017, parmi les 14261 personnes recensées dans le village ZhouHe, 5272 sont partis travailler ailleurs, en laissant au village notamment 1473 personnes âgées et 916 enfants qui vivent difficilement leur quotidien, dans l'attente de revoir leur famille. (*chiffres publiés par les autorités locales)
De nos jours, seulement 6000 hommes actifs sont restés travailler dans leur pays natal. Ce qui est loins d'être suffisant. Tout d'abord, les 14 000 hectares de théiers sauvages occupent un étendu trop vaste, qui nécessitent des ressources humaines bien plus importantes pour leur entretien. Ensuite, les forêts sont denses et montagnes hautes, ce qui rend plus difficle la récolte; d'autant plus, pour éviter que les autres arbres ou végétations deviennent trop envahissants, cachant le soleil et puisant l'eau des théiers sauvages, il faut constamment les éliminer. Mais le départ de la population active entraîne un déficit d'entretien de plus en plus grand, voire l'abandon de ces trésors ancestrales.
Né dans un petit village du Comté de Xin, le Président du Groupe Ling Rui, M.Wei-Zheng XIONG a commencé par la création d'un petit laboratoire pharmaceutique à base de plantes médicinales, puis, avec l'aide des habitants du Comté de Xin, a bati un grand groupe.
M. Xiong, malgré sa réussite, n'a jamais oublié d'où il venait et sans cesse, il subventionne et finance cette région, mais en vain, cela n'a pas suffit pour améliorer la vie quotidienne des villageois de son pays natal. Comment les faire sortir définitivement de la pauvreté ? Enfin, comme dit le dicton, pour rendre son aide efficace et pérenne “donne un poisson à un homme et tu le nourriras une journée, mais apprends lui à pêcher et le nourriras durant toute la vie”. Il a donc porté son regard sur les fôrets de théiers sauvages.
Situé au 31,3 degré de latitude nord, le Comté de Xin est au confluant d'une rivière et d'un fleuve : le Yangtze et le Huai, à l'extrême nord de la zone où poussent les théiers sauvages. Une température relativement basse, une latitude adéquate, des périodes sans gel idéales, ainsi qu'un air pur, une humidité et un ensoleillement suffisants ; bref, toutes les conditions réunies pour avoir 14 000 hectares de forêts de théiers sauvages. C'est au bout de 13 mois que ces arbres peuvent engendrer des graines mures et noires, riches en éléments nutritionnels, pour produire des huiles de camélia d'excellente qualité.
Entant qu'entreprise à responsabilité sociétale, nous entendons profiter de ces « trésors naturels » du Comté de Xin, les théiers sauvages, pour aider la population locale à sortir de la pauvreté.
C'est avec ce rêve que le Groupe Ling Rui a entrepris son « voyage de lutte contre la pauvreté » avec comme arme l'huile de camélia.
Au fin fond des montages, s'est dressé une usine toute neuve pour une ligne de production moderne à pressage physique à faible température, nommée Ludashan Camélia Oil Co.
Ensuite, une coopérative a été créée sous le nom de Luda dans le village Zhou He pour regrouper les 748 foyers pauvres et leurs parcelles de forêts de théiers, afin d'unir les forces, d'entretenir d'une manière plus industrielle les forêts et d'augmenter ainsi les récoltes. En même temps, le fait que tout le processus de production soit réalisé dans le Comté de Xin grâce à l'installation de l'usine, depuis la récolte, le pressage physique, jusqu'à l'embouteillage en salle blanche, a permis aux villageois d'avoir des emplois près de chez eux. Ainsi, tout en réalisant une action sociétale, les forêts et donc l'environnement sont également préservés.
En effet, le Groupe Ling Rui s'attache non seulement à développer les ressources en théiers sauvages, mais encore plus à la préservation de l'environnement écologique des forêts. A commencer par faire enlever régulièrement les espèces envahissantes qui encombrent les espaces des théiers, afin d'éviter que la croissance et l'ensoleillement de ces derniers soient gênés. Ceci permet d'augmenter les récoltes. Cela permet aussi de transformer les flancs de montagnes en terrasses, greffer, tailler et labourer..., bref, toutes les techniques ont été utilisées pour entretenir ces forêts. Malgré un manque de moyen financier, le Groupe Ling Rui a tout de même mobilisé des ressources humaines, matérielles et financières substantielles pour faire entretenir avec soin ces forêts de théiers sauvages.
L'ambition du Groupe Lingrui est de se développer sur le plan international. A cet effet, il a créé, en 2015, sa première société à l'étranger (aux Etats-Unis), la société ShanCha.
Mme Jin WANG, la Directrice Générale de ShanCha Inc., la filiale américaine du Groupe Lingrui, est une femme d'origine chinoise, qui vit depuis des années à l'étranger. Depuis sa première rencontre avec le Groupe Lingrui, remontant à plus de vingt ans, Mme WANG a toujours partagé les valeurs et l'esprit du Groupe Lingrui,surtout en ce qui concerne la responsabilité sociétale et le souci permanent de prendre soin des villageois de leur pays natal.
A plusieurs reprises, Mme Jin WANG s'est rendue dans le Comté de Xin pour voir la vie quotidienne des villageois, inspecter les forêts dans les montagnes et réfléchir aux actions à mettre en oeuvre pour : créer un pont culturel et commercial entre les villageois (producteurs des graines de camélia) et les Etats-Unis, voire avec le monde, nouer des liens puissants qui vont dépasser le temps entre ces deux mondes, faire connaître les fruits du labeur des villageois, améliorer leur vie quotidienne, inciter les populations active à revenir au pays pour construire leurs beaux villages et ainsi leur permettre de se rapprocher de leurs proches (grands parents et petits enfants) laissés seuls aux villages, et surtout et enfin, mieux préservés et mieux entretenir les forêts de théiers.
Cependant nos moyens sont loin d'être suffisants et nous espérons que davantage de gens, aspirant à une vie saine et ayant des valeurs humaines fortes, participeront à notre entreprise sociétale, a déclaré Mme WANG.
Le fait de rejoindre le club ShanCha en devenant membre, vous procure de nombreux avantages : recevoir des huiles de camélia naturelles et saines, profiter de services de soin, renforcer nos moyens financiers et nous encourager dans nos démarches pour augmenter le niveau de vie des villageois du Comté de Xin, producteurs des graines de camélia. Cela permettra en outre un meilleur entretien des forêts. Autrement dit, en nous rejoignant, les membres du Club ShanCha investiront dans leur santé tout en donnant un sens à leur vie en aidant leur prochain.
Chaque année, la société ShanCha organisera “un voyage culturel et bienfaisant pour la santé”en faisant découvrir aux membres de notre Club le monde des théiers sauvages et la vie des villageois dans le Comté de Xin.
Là-bas, les membres pourront parrainer une parcelle de théiers sauvages pour créer ainsi un soutien direct aux villageois et les aider dans l'entretien de leur parcelle. Ces soutiens financiers vont permettre la préservation des forêts sauvages primitives, l'augmention de la production de graines à huile et la hausse des revenus des villageois. Et le résultat de toutes ces actions contribuerons à encore améliorer la production des huiles de camélia que vous allez ainsi déguster à table pour les bienfaits de votre santé.
Lors de leur lettre ouverte à Warren Buffett le 14 février 2017, le couple Bill Gates a écrit :
A travers l'aide des populations les plus démunies, nous montrons les valeurs les plus nobles de notre pays;
A travers l'aide des populations les plus démunies, nous montrons les valeurs les plus nobles de notre pays;
A travers l'aide des populations les plus démunies, nous montrons les valeurs les plus nobles de notre pays;
une meilleure protection des forêts de théiers sauvages dans le Comté de Xin ;
des récoltes plus abondantes qui bénéficieront à tous;
un revenu stable pour les villageois qui verront revenir l'espoir dans les forêts de leur pays natal;
le retour des actifs partis travailler ailleurs et la réunion des familles dispersées ; ainsi les personnes âgés ne seront plus seuls et les enfants pourront grandir près de leurs parents et ne vivront plus dans l'attente de leur retour.
Les convictions de la société Shancha™
La société Shancha œuvre pour préserver la nature et s'est engagée dans la responsabilité sociétale. Nous souhaitons, à travers nos produits, développer la société et améliorer le niveau de vie des villageois. En même temps nous cherchons à faire partager, aux membres de notre club, un mode de vie sain et naturel tout en procurant une sensation de bien-être.
Une idée de la fondatrice de notre société
La fondatrice de la société américaine ShanCha™, Mme WANG, est d'origine du sud de la Chine. Au début du 21e siècle, bien qu'elle soit partie à l'étranger, elle ne cesse de se souvenir avec nostalgie de l'huile de théier dans la cuisine de sa mère et de sa grand-mère au fin fond des montagnes chinoises. Enfant, sa grand-mère l'a amenée souvent dans son jardin et avec un morceau de bambou fraichement coupé, sa grand-mère le transformait en une paille pour la laisser aspirer les nectars des fleurs des théiers, en lui racontant les bienfaits et surtout les effets médicinaux de ces nectars.
Les années passent, Mme Wang a emménagé à New York et a toujours cherché des produits sains et naturels pour sa famille. En voyant les rayons entiers d'huiles d'olive dans les supermarchés, cela lui rappelait le parfum des huiles de son pays natal. Elle ne comprenait pas pourquoi tout le monde préfèrait utiliser l'huile d'olive, et personne ne connaissait les huiles de théier ; et pourtant il s'agit d'une huile d'exception, une huile aux vertus extraordinaires. Au point qu'en Asie et particulièrement dans les régions productrices de l'huile de théier en Chine, ceux qui prêtent attention à leur santé et à la nature, connaissent parfaitement les bienfaits de cette huile, qui, en plus d'être très nourrissante, peut aussi soigner la peau et les cheveux. Beaucoup de femmes l'appliquent directement sur leur visage comme une crème. Ses effets dépassent largement tous les produits cosmétiques et les soins capillaires issus de la chimie.
Mme Wang a donc décidé de promouvoir dans le monde l'huile de théier. Il se trouve qu'en même temps, un groupe pharmaceutique chinois très connu, Lingrui Pharmaceutical Co. Ltd., cherche à trouver le moyen de lancer sa nouvelle gamme de produits, l'huile de théier de Ludashan.
Un groupe que Mme Wang a connu depuis sa création il y a 20 ans, pour lequel elle a une grande estime pour ses engagements, notamment la grande amitié entre le fondateur du groupe pharmaceutique et les villageois. En effet beaucoup de membres de ce groupe sont d'origine des petits villages du comté Xin. Ils sont parfaitement conscients de ce que représentent ces forêts de théier sauvage: un don de la nature.
Comme le Groupe Lingrui tire une bonne partie de son développement et sa réussite grâce aux plantes médicinales locales, ce groupe entend montrer à la communauté locale sa gratitude. Fort de sa conviction pour un développement durable, Lingrui® a donc investi dans une usine de pressage de haut de gamme dans la zone montagneuse, afin d'aider l'économie locale et les villageois à sortir de la pauvreté.
D'un côté il y a Mme Wang qui cherche à faire connaître au monde entier une huile exceptionnelle, de l'autre côté il y a un groupe qui la fabrique en aidant la population avec la technologie moderne répondant aux normes pharmaceutiques, c'est ainsi qu'est née à New York, en 2015 la filiale américaine de ce groupe, la société Shancha.